Gilbert Edelstein, le patron, devait demander, vendredi 4 mai, une aide de l'Etat.
Au début de l’année 1972, le comédien Jean Richard devient le troisième propriétaire du Cirque Pinder et dès le début de la tournée, son nom apparaît en couleur bleue sur tous les véhicules du Cirque.
La société Car Promogil, qui exploite l'établissement, a été placée en liquidation judiciaire, annonce le propriétaire Gilles Edelstein, lundi 7 mai. La société a été mise en liquidation judiciaire le 2 mai par le tribunal de Créteil (Val-de-Marne). Autre compagnie st… Son projet sans animaux, c’est pour faire plaisir à Anne Hidalgo et aux écolos, mais tout ça ce n’est qu’une mode !
Ils profitent de quelques vacances, comme nous.La baisse de fréquentation, aujourd'hui, ne permet pas de vivre dans l'itinérance d'un cirque. Il dit que ses lions sont bien nourris, c’est vrai. En attendant une éventuelle reprise des spectacles cet été.Le cirque Pinder est contraint de remballer son chapiteau pour quelques temps. En 2016, le cirque Pinder connaît son premier revers. Pour autant, il a tort : ses lions, comme tous les animaux sauvages, n’ont rien à faire dans les cirques. L’histoire d’une légende qui s’écrit depuis 160 ans !. Ce sera un cirque plus petit, mais le nom sera toujours là.
Il dit d’ailleurs entretenir des « relations cordiales » avec Muriel Arnal, la présidente de Nous nous sommes rencontrés à plusieurs reprises, c’est quelqu’un de gentil. Les débuts. Le cirque Pinder avait été placé en liquidation judiciaire, mais il est de retour, et sans animaux sauvages.
Quant à la place qu’ils ont pour s’amuser, en vérité un lion a besoin d’un terrain équivalent à la taille d’une grande métropole pour être bien.Et d’ajouter : « Un jour ou l’autre, il faudra qu’il emmène ses lions dans un sanctuaire et les laisse partir. Ils sont bien nourris, choyés, ils ont de la place pour s’ébattre. Le cirque Pinder est contraint de remballer son chapiteau pour quelques temps. Plusieurs villes de France, dont Paris, réclament ainsi leur interdicton dans un tel contexte. Là, mes lions profitent du beau temps avec les zèbres, les chameaux, les lamas.
Le cirque Pinder a été racheté par son père, Gilbert Edelstein, en 1983 à Jean Richard auquel il était associé [1].C'est donc naturellement qu'il côtoie les artistes de cirque. »Pour la saison 2019, contre l’avis paternel, il reprend donc la route avec ses fauves, quelques camions Pinder, et son incroyable bonne humeur de grand gamin quinquagénaire. Mes lions sont mieux avec moi ici que dans leur habitat naturel ! Dans le même temps, un autre cirque mythique, Bouglione, est en prise à des conflits judiciaires familiaux : le clan est désormais scindé entre André-Joseph Bouglione, directeur du cirque itinérant Joseph Bouglione, qui a annoncé son choix de ne plus faire appel à des animaux dans ses spectacles, et ses cousins, gestionnaires du fameux Cirque d'Hiver Bouglione, qui entendent l'empêcher d'utiliser ce patronyme.
Frédéric Edelstein, né le 30 juillet 1969 à Lyon, est un dompteur français de fauves et le directeur du cirque Pinder.Avec sa sœur Sophie Edelstein, il était l'une des têtes d'affiches du cirque Pinder.. Ce dernier Douze lions blancs, douze chameaux, deux zèbres, trois chevaux, six ânes... Situé à Perthe-en-Gâtinais (Seine-et-Marne), à une quarantaine de kilomètres de Paris, cet ensemble doit accueillir prochainement "Pinderland", un parc d'attractions. »Si le dresseur assure qu’il ne « changera pas d’avis », sa personnalité attachante et hors normes n’arrive même pas à mettre en boule ses plus ardents détracteurs. Depuis que son père Gilbert Edelstein a racheté le cirque Pinder en 1983, Frédéric Edelstein en est le dresseur mythique. Cela touche les cirques, les comédies musicales, les théâtres... La crise touche tous les Français, qui ne peuvent plus s'acheter une place de cirque.
La fin du cirque Pinder est symbolique.
À La Ciotat (Bouches-du-Rhône), le conseil municipal prendC’était en 2018, on se produisait à Lyon. Aucune date d'ouverture n'est encore arrêtée, mais celle-ci pourrait intervenir En décembre dernier, le cirque Bormann avait vendu six de ses neuf tigres, Il n'en reste pas moins que le cirque Pinder fait face à une sérieuse baisse de fréquentation.
»En renseignant vos informations, vous avez pris connaissance de notre Frédéric Edelstein, de Pinder : « mes lions sont mieux au cirque que dans leur habitat naturel » »Frédéric Edelstein doit ouvrir les yeux. Il est passé en trois ans de 450.000 spectateurs annuels à 150.000. »Si papa le veut bien, l’année prochaine je repartirai sur les routes avec Pinder. Mon père est venu me voir et m’a dit « dans deux mois c’est fini ! Il est Ravi de pouvoir continuer à montrer son numéro, Frédéric Edelstein Je suis fatigué que des imbéciles racontent des bêtises sur mes animaux.