Le meilleur indicateur de la violence des batailles demeure le nombre d'officiers supérieurs qui y sont tués. Une connaissance, fait un travail très important sur les généraux français tués entre 1800 et 1815.Nouvelle parution livre - Février 2019 (Editions Soteca)Merci Rigodon d'honneur ... y prennent de mauvaises habitudes !paru depuis peu chez un éditeur espagnol (mais écrit en français) : Officiers de Napoléon tués ou blessés pendant la Guerre d'Espagne (1808-1814) , par Jorge Planas Campos et Antonio Grajal de Blas.Nom de l’ouvrage : Les Généraux morts au Champ d'honneur de 1792 à 1815Je suis à la recherche de renseignements sur un certain Jean-Baptiste Devaud, né à Saint-Cyr-les-Champagnes, adjudant-major en 1796. Les généraux de Napoléon Bonaparte ont joué un rôle central dans les différentes campagnes militaires menées entre la fin du XVIII e et le début du XIX e siècle.
Homme de guerre, il ne craignait pas de s’exposer, menant directement les actions dans toutes les guerres qu’il conduisit. Nom de l’ouvrage : Les généraux suisses de Napoléon...Cela reste un dictionnaire, donc une compilation comme l'auteur les affectionne. Louis-Philippe inaugure la galerie des Batailles, le 10 juin 1837. Son courage était indubitable. Un chiffre considérable. Car c’est à Napoléon homme d’honneur, homme de courage et combattant de la Patrie, que se sont attachés Gautherot et Debret. En donnant une première nomenclature des officiers généraux morts au champ d'honneur pendant les guerres de la révolution, du consulat, de l'empire, de la restauration, et depuis la révolution de juillet 1830, jusqu'en 1837, nous avions compris les vives sympathies de la non. Mais, comme toujours dans ce genre d'exercice, incomplet parce qu'on n'y explique pas...Ayant déjà répondu directement à l'intéressé, je donne ici ma réponse pour les autres lecteurs du forum :↳ BIBLIOTHÈQUE EMPIRE - L'actualité du livre napoléonien Sur les 2 389 généraux qui servirent sous les ordres de Napoléon, 220 moururent au combat. L’Empereur n’avait pas quitté ses bottes depuis trois jours, ce qui amplifia sa souffrance, qui fut réelle, et que traduit parfaitement l’expression que lui a conférée Gautherot. S’il prenait directement part aux batailles, menant lui-même l’action, il savait aussi reconnaître la valeur, et bien qu’il eût parfois des paroles malheureuses – « Tant qu’il me restera vingt mille hommes… » –, il savait se montrer généreux envers les blessés. L'appel fait dans notre première publication a été entendu. Yvan vint le panser sous les yeux d’Heurteloup, successeur de Percy comme chirurgien de la Grande Armée. Serment de l'armée fait à l'empereur après la distribution des Aigles au Champs de Mars. Le tableau vaut surtout par le dynamisme de l’attitude de Napoléon qui, descendu de cheval à demi, essentiellement pour se faire soigner, n’en demeure pas moins le chef de guerre insensible qui continue à poursuivre le but de victoire qu’il s’est fixé.Ces deux tableaux permettent de poser une problématique originale dans l’ensemble de la production napoléonienne.
Pourtant, il ne fut blessé qu’une fois, devant Ratisbonne, en 1809.
Ce sont certes de nobles actions de l’Empereur qui sont peintes, mais ce sont aussi des événements qui montrent la proximité de Napoléon avec les soldats, tant ennemis que français. Napoléon blessé devant Ratisbonne. Ont été tués au cours de la bataille de Normandie les généraux allemands : Falley (91 e DI), dans la nuit du 6 juin, dans une rencontre avec les parachutistes américains ; Dawans, chef d’Etat Major du Panzer Gruppe West, le 10 juin au sud de Caen, dans un bombardement aérien ;