Selon Roland Gori, cette conception n’est en fait qu’une illusion : les problèmes humains et le progrès social ne peuvent pas être solutionnés ou atteints uniquement via la technique et la technologie.Si cette dernière nous apporte des solutions merveilleuses, comme pendant la crise du Pour Roland Gori, les catastrophes prédites par les discours sur l’effondrement reflètent l’incapacité de notre société à changer notre manière de penser :De par leur vision à court terme, nos sociétés ne sont pas préparées aux chocs qu’elles doivent affronter et qui pourraient causer un effondrement, mais les nouvelles technologies ne peuvent pas non plus remplacer la complexité sociale et culturelle d’une société. Pour revenir à des jours plus récents, l’avènement des échanges et du partage d’informations à travers le monde est dû à la création d’Internet ouvert au grand public en 1992 et reliant ainsi les personnes du monde entier entre elles. Les nouvelles technologies sont différentes du numérique. Le progrès technologique est formidable mais mal utilisé, il abîme le lien social. Les nouvelles technologies impactent toute la chaîne de valeur des assureurs et réassureurs, tous les métiers sont concernés et chamboulés, pas seulement l’actuariat (les tarificateurs médicaux, la gestion, la vente…). Ces nouveautés ont toutes pour but d’améliorer le quotidien et les conditions de vie de chacun en répondant aux besoins de notre époque. Cette méthodologie a été construite à partir de mes lectures personnelles, d’échanges et de mes expériences lors des missions. De plus, sa manipulation nécessite des outils spécifiques indispensables à son extraction, à sa visualisation et enfin à son analyse. Les technologies sont donc le symbole de progrès dans le monde et composent le visage de notre société avec ses bons côtés et ses imperfections, caractérisant par la même occasion la nature humaine. La technologie présente de nombreux avantages. …) l’auditeur s’assure de l’accessibilité des données.À partir de cette étape, il doit garantir l’intégrité et la confidentialité des données tout au long de ses travaux.La manipulation des données se réalise en deux étapes : le nettoyage des données (elles sont en effet rarement exploitables en l’état) et le modelage des données (l’auditeur structure les données pour ses travaux).Certains facteurs, regroupés en trois familles (nature des données, format des données, caractère spatio-temporel des données), peuvent altérer la fiabilité et la pertinence des données.

C’est cette différence fondamentale qui mène toutes les petites mains travaillant dans ce secteur à douter de la véracité de l’expertise de « spécialistes » déconnectés des véritables problèmes des entrepreneurs Tech.Il est indéniable que mettre des stratégies sans eux soit quelque peu risqué. Face à chaque facteur identifié, l’auditeur doit entreprendre une démarche particulière pour éviter tout écueil.Tout au long de l’audit, l’auditeur doit faire preuve d’un esprit critique. Sur cette plateforme, les entrepreneurs qui ont besoin d’un nouveau matériel remplisse un formulaire en ligne où il leur est demandé de décrire leur activité et d’exprimer leur besoin. Roland Gori est convaincu que la balance entre ces deux discours doit être établie.Selon lui, l’être humain doit apprendre de ses erreurs du passé pour construire un avenir meilleur sur le long terme et surtout, pour tous. Elles sont le signe de notre modernité et seraient désormais représentatives des Hommes. Le cœur de cette transformation est la « data ». Auparavant, j’ai évolué dans un cabinet international et plus précisément dans le département « expertise-comptable »  où j’ai assisté au déploiement d’outils orientés vers la digitalisation et la dématérialisation.À travers mes lectures personnelles sur l’analyse de données, j’ai constaté que la digitalisation des petites et moyennes entreprises n’était qu’à ses balbutiements.Le cœur de cette transformation est la « data ». Le progrès (scientifique et technique) a également considérablement diminué les risques de décès lors des opérations.

Les technologies sont donc le symbole de progrès dans le monde et composent le visage de notre société avec ses bons côtés et ses imperfections, caractérisant par la même occasion la nature humaine. C’est à ce moment là que le progressisme et la pertinence de certaines technologies sont remis en question. Le commissaire aux comptes est une véritable partie prenante de cette transformation en raison de ses connaissances des process de l’entreprise. Pour Roland Gori, cette forme de pensée peut nous mener vers l’individualisme de masse et ses conséquences néfastes peuvent déjà être observées à travers des problèmes sociétaux comme celui des hikikomori au Japon. Les nouvelles technologies impactent toute la chaîne de valeur des assureurs et réassureurs, tous les métiers sont concernés et chamboulés, pas seulement l’actuariat (les tarificateurs médicaux, la gestion, la vente…). Brider le numérique serait toutefois un frein au progrès, et il est vrai que sans les grandes avancées, l’humanité ne vivrait pas aussi bien qu’aujourd’hui.

Cette technique est utilisée par tous les auditeurs au cours de leurs missions.Dans cet environnement numérique et digital, le commissaire aux comptes va devoir s’approprier des techniques de sondages plus « scientifiques », notamment l’échantillonnage statistique.

Pour rester dans cette sombre partie de notre Histoire, l’ordinateur fut créé par Alan Turing nommé « Enigma » afin de déchiffrer les messages codés nazis et qui fonctionna avec succès. Sur la base de ces réponses, le … Cependant, nous pouvons soulever certains problèmes dus à cette liberté d’accès, notamment les messages négatifs qui n’incitent pas à la solidarité mondiale, voire les insultes qui fleurissent malheureusement sur Internet et qui ont parfois des conséquences irréversibles sur les plus fragiles.

Tour d'horizon avec le témoignage de Jean-Stéphane Arcis, PDG de Talentsoft. La question peut se poser car l’évolution devrait se traduire par une survie de l’espèce humaine dans de bonnes conditions de vie, ce que les armes et les bombes, nucléaires ou non, ne provoquent pas, allant même à l’encontre de ces principes.